Cette partie du wiki est consacrée à un recensement de constructions syntaxiques pour le français. L'objectif est de les présenter, les illustrer par des phrases d'exemples, de les mettre en relation avec d'autres contructions, et d'essayer d'en proposer des représentations, si possible liés à la méta-grammaire FRMG. De manière générale, la description d'un phénomène doit clairement séparer sa présentation générale des choix faits dans le contexte particulier de FRMG. Quand un phénomène syntaxique n'est pas couvert ou mal couvert par FRMG, il est recommandé de l'indiquer clairement.
Le but de ce wiki n'est pas de présenter une version normalisée d'une grammaire du français. Tout phénonème attesté y a sa place, que ce soit à l'écrit, à l'oral, ou dans des variantes régionale (à condition de le préciser clairement). Actuellement, les limites de FRMG semblent porter sur des phénomènes dont le taux d'occurence se situe autour de quelques millièmes, ce qui donne quand même une ou deux occurrences par livre.
Les sorties produites par l'analyseur FrMG sur les phrases d'exemple permettent également de matérialiser les signatures des phénomènes syntaxiques pour FRMG, si possible mises en valeur en mettant en gras les dépendances clés. Ces signatures peuvent être utiles pour mettre au point des motifs d'extraction, par exemple dans le cadre de tâches d'extraction d'information. Ces motifs d'extraction peuvent par exemple être exprimés à l'aide du Langage DPath ou du système OGRE. Les sorties produites par FRMG peuvent parfois être de lecture non-immédiate, car reflétant certaines contraintes liées au formalisme sous-jacent des TAGs et de ses limites.
Le choix des phrases pour illustrer les phénomènes syntaxique soulève des questions. Le choix actuel est d'utiliser des phrases très simples pour mieux mettre en valeur le phénomène dans les sorties syntaxiques. Néanmoins, dans le cas de constructions rares et éventuellement discutables, il est préférable de fournir des phrases attestées, en précisant la source.
Il n'existe pas de bon plan de classement des phénomènes syntaxiques. À coté d'une hiérarchie relativement classique, nous privilégions des liens croisés entre phénomènes. Les discussions sur les phénomènes pourront amener de temps en temps à des réorganisation de la hiérarchie.
En français, la structure canonique d'une phrase s'articule autour du verbe, celui-ci introduisant divers arguments comme le sujet avant le verbe et les autres après (suivant un ordre dit SVO).
Cette partie s'intéresse aux divers types d'arguments verbaux, caractérisés par leur fonction grammaticale (sujet, objet, attribut, ....) et leurs réalisations (groupe nominal, groupe adjectival, groupes prépositionnels, clitiques, phrases infinitive, ...).
Le sujet se manifeste par un arc étiqueté subject ou impsubj pour les impersonnels, de type substitution ou coancrage (pour les clitiques, considérés comme faisant partie du noyau verbal). Le sujet (hors cas d'inversion) est gouverné par le verbe principal (et donc pas par les verbes auxiliaires comme avoir ou être, ni par les verbes modaux comme vouloir, pouvoir, ...).
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Sujet nominal dans son ami dort.
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Sujet clitique dans il dort.
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Sujet clitique impersonnel dans il neige.
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Sujet complétive dans qu\'il vienne l\'amuse.
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Sujet infinitive dans venir l\'amuse.
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Sujet prep. dans de venir l\'amuse.
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Sujet clitique post-verbal dans dort-il ?
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le sujet pré-verbal s\'attache au verbe principal
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Graph
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Le sujet clitique (personnel ou non) post-verbal s'attache sur le premier auxiliaire ou modal rencontré.
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Sujet clitique post-verbal sur auxiliaire dans a-t-il dormi ?
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Sujet clitique post-verbal sur modal dans veut-il dormir ?
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double sujet dans Quel film Jean a-t-il voulu voir ?
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Enfin, on peut avoir un sujet nominal ou phrastique post-verbal dans certaines constructions.
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Sujet nominal post-verbal dans qu\'en pense ton ami ?
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Un sujet phrastique peut se trouver en position post-verbale, suite à l'utilisation d'un sujet impersonnel en position pré-verbale.
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Sujet phrastique post-verbal dans il me semble que tu dormais ?
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L'objet est introduit par un arc étiqueté object, de type substitution ou coancrage (pour les clitiques).
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Objet nominal dans il mange une pomme.
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Objet clitique dans il la mange.
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Il y a un cas particulier où le clitique en est lié à un objet.
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Objet clitique en dans il en mange trois.
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On a aussi des objets sous forme phrastique (voir Section 3.5).
L'attribut est introduit par un arc de substitution étiqueté comp (qui peut éventuellement prêter à confusion avec le cas des phrases courtes, Section 19).
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Attribut du sujet dans elle est rouge.
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Attribut de l\'objet dans elle le trouve idiot.
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Note : Sous forme graphique, il n'est pas possible de différencier les diverses formes d'attributs. Il faut pour cela consulter l'hypertag du verbe, avec le champ ctrsubj.
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Attribut nominal dans il est un ami.
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Attribut prépositionnel dans il est à bout.
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Graph
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Ils sont généralement introduits par un arc de substitution étiqueté preparg vers la préposition, ou de coancrage vers un clitique. Le format graphique ne permet généralement pas de distinguer la fonction exacte (datif, locatif, obliques, ...): pour cela, il faut consulter l'hypertag du verbe, en particulier le chemin argi:function.
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Objet prep. dans il le donne à son ami.
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Objet prep. clitique datif dans il lui donne.
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Objet prep. clitique en dans il en parle.
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Objet prep. clitique y dans il y pense.
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L'agent dans les constructions passives apparaît comme un objet prépositionnel.
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Agent passif comme prepobj dans elle est mangée par Marie.
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Ils sont introduits par au moins un arc de substitution étiqueté xcomp vers le verbe de l' argument phrastique. Un autre arc est éventuellement présent pour l'introducteur que (csu), prépositionnel (prep), ou si (siwh) pour une interrogative indirecte.
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Complétive objet dans il veut qu\'elle vienne.
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Infinitive objet dans il veut venir.
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Note : les verbes acceptant une infinitive objet sont normalement vus comme des modaux venant s'adjoindre sur le verbe objet considéré comme le verbe principal. Ce schéma est rompu pour les verbes acceptant un objet infinitif plus d'autres arguments (même non présents).
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Infinitive objet non modal dans il l\'entend chanter.
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Infinitive objet avec de dans il lui promet de venir.
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Infinitive objet avec de dans il lui demande de venir.
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Note : La vue graphique de permet pas de repérer le contrôleur de l'infinitive. Pour cela, il faut examiner l'hypertag du verbe avec le champ ctrsubj.
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Infinitive prep. dans il parle de venir.
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Infinitive prep. dans il parle de ce qu\'il écrit.
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Interrogative indirecte dans il ne sait pas si il vient.
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Interrogative indirecte dans il sait qui viendra.
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Phrastique introduite par comme dans regarde comme il est beau.
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En cas d'extraction dans l'argument phrastique, le verbe introduisant l'argument est adjoint sur celui-ci en S (à ne pas confondre avec le cas des modaux adjoints en V).
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Extraction dans un argument phrastique dans qui proposes-tu d\'appeler ?
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Extraction dans un argument phrastique avec modal dans qui veux-tu demander d\'appeler ?
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On a un cas spécial pour les causatives avec un sujet sur l'infinitive, en sachant que tous les cas de causatives ne sont pas couverts par FRMG. Les causatives sont caractérisées par une occurrence du lemme faire, un argument xcomp, un sujet inversé dans une phrastique infinitive, et éventuellement un arc causative_prep pour l'introducteur à. Au niveau de l'hypertag de faire, on a également arg1:kind = vcompcaus.
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causative sur un verbe intransitif dans il fait dormir Marie.
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causative sur un verbe transitif dans il fait manger à Marie une pomme.
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Mais on a des cas de causatives moins visibles:
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causative avec clitique accusatif dans il la fait dormir.
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causative avec clitique datif dans il lui fait manger une pomme.
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Enfin, nous avons une construction particulière dite de citation autorisant un argument phrastique venant avant le verbe (et sans introducteur que). Il est à noter que les incises de citation ne sont pas traités par ce mécanisme, mais en tant qu'élément flottant dans la citation (voir Section 16.12).
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citation avant son verbe dans ne pars pas, demande-t-il.
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Ils se traduisent par des arcs coancrés, portant soit la fonction soit la catégorie syntaxique de la cible pour les modifieurs (cll, clg, ...).
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Clitique locatif y dans il y dort.
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Clitique locatif en dans il en vient.
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Clitique génitif en dans il en parle.
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Clitiques inversés dans donne le lui !
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Clitique en relation avec une partie du corps dans il lui serre la main.
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Les auxiliaires sont introduits par des adjonctions au niveau de Infl qui peuvent être chaînées.
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Chaînage d\'auxilaires dans j\'ai été trompé.
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Elle se manifeste souvent par le clitique de négation lié au verbe (et non l'auxiliaire) par un arc de coancrage étiqueté clneg. Par contre, l'adverbe de négation (pas, plus, ...) est vu comme une adjonction (sur V1), éventuellement portée par l'auxiliaire, ou en position antéposée sur les verbes infinifs avec un arc de coancrage advneg. Il n'y a pas non plus de synchronisation obligatoire entre clitique de négation et adverbe de négation.
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Négation dans il n\'a pas mangé.
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Négation sur verbe infinif dans ne pas dormir.
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Négation sans clitique dans dors pas ici!
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Négation par pronom dans il ne mange rien.
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Négation avec que de restriction dans il ne mange qu\'une pomme.
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Négation avec que de restriction dans il ne viendra que demain.
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Rien n'identifie de manière certaine une construction passive au niveau de la représentation graphique. Pour en être certain, il faut consulter l'hypertag du verbe (champ diathesis) ou le nom de l'arbre (comprenant verb_categorization_active ou verb_categorization_passive).
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Passif dans ce vase a été cassé par lui.
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Les verbes modaux comme vouloir, pouvoir, ... sont adjoints en V sur le verbe principal.
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Verbe modal dans il ne veut plus en manger.
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FRMG est loin de couvrir toutes les constructions qu'on peut caractériser à verbe support, nom prédicatif, verbes légers, .... Néanmoins, des cas comme prendre conscience, faire attention, avoir besoin se caractérisent pas l'utilisation d'un arc de co-ancrage ncpred du verbe support vers le nom prédicatif. Il est à noter que les informations de valence du nom prédicatif sont capturées par le verbe et présentes dans son hypertag.
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nom prédicatif dans il prend conscience du problème.
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nom prédicatif modifieur adjectival dans il prend pleine conscience du problème.
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Un certain nombre de phénomènes syntaxiques s'interprètent en terme d'extraction d'un dépendant du verbe (argument ou modifieur) et de son déplacement en tête de phrase.
Les interrogatives portant sur des arguments du verbe (sujet, objet, ...) sont gérées par la classe FRMG verb_extraction_wh
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Wh sujet dans qui parle ?
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Wh objet pronon dans que mange-t-il ?
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Wh objet nominal dans quelle pomme mange-t-il ?
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Wh attribut dans comment es-tu ?
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Wh attribut dans quel homme es-tu ?
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Wh attribut nominal dans qui es-tu ?
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Graph
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Graph
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Wh prepobj mod dans où travaille-t-il ?
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Extraction clivée sujet dans c\'est lui qui triche.
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Extraction clivée objet dans c\'est une pomme qu\'il mange.
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Extraction clivée prepobj dans c\'est à lui qu\'il parle.
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Extraction clivée sur un modfieur prépositionel
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Extraction clivée sur un adverbial temporel
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Est-ce que dans est-ce qu\'il vient ?
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Est-ce que dans est-ce lui qui vient ?
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Est-ce que dans est-ce que c\'est lui qui vient ?
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Clivée sans introducteur dans c\'est lui le chef.
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Clivée sans introducteur dans c\'est le chat le coupable.
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Sujet antéposé dans une clivée averbale
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Clivée averbale avec sujet et attribut verbaux (infinitifs)
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Les extractions profondes sont sujettes aux limites des TAGs et ne sont donc pas toutes possibles.
Elles ne posent pas de problème théorique, résultant de la possibilité d'adjoindre (sur S) le verbe à argument phrastique sur son argument (plutôt que d'avoir un lien de substitution xcomp du verbe vers son argument). Par contre, la désambiguisation masque souvent la bonne analyse dans le cas de l'extraction d'un modifieur, préférant attacher celui-ci sur le verbe introduisant l'argument phrastique plutôt que sur le verbe de l'argument phrastique (ce qui parfois la bonne analyse).
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Extraction relative d\'un argument dans une complétive dans la pomme qu\'il veut que tu manges est rouge.
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Extraction relative d\'un modifieur pro dans une complétive dans l\'hôtel où il veut que tu manges est bien.
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Extraction relative d\'un modifieur PP dans une complétive dans l\'hôtel dans lequel il veut que tu manges est bien.
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Extraction wh d\'un argument dans une complétive dans je me demande quelle pomme il veut que tu manges ?
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Extraction wh d\'un modifieur PP dans une complétive dans je me demande dans quel hôtel il veut que tu manges ?
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Extraction clivée d\'un argument dans une complétive dans c\'est cette pomme qu\'il veut que tu manges.
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Graph
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Extraction relative d\'un argument dans une infinitive dans la pomme qu\'il propose de manger est rouge.
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Extraction relative d\'un modifieur dans une infinitive dans l\'hôtel dans lequel il propose de dormir est bien.
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Extraction wh d\'un argument dans une infinitive dans je me demande quelle pomme il propose de manger.
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Extraction wh d\'un modifieur dans une infinitive dans je me demande dans quel hôtel il propose de dormir.
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Extraction clivée d\'un argument dans une infinitive dans c\'est cette pomme qu\'il propose de manger.
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Extraction clivée d\'un modifieur dans une infinitive dans c\'est dans cet hôtel qu\'il propose de dormir.
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Extraction hors d\'une infinitive à contrôle objet dans voici la pomme qu\'il la contraint à manger.
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FRMG ne sait pas extraire des arguments (ou des modifieurs) d'un argument phrastique d'un nom ou dans un adjectif (avec une exception dans les cas des phrases à têtes adjectivales).
Ainsi, FRMG ne rend pas d'analyse pour «quelle pomme son ami est capable de manger ?», ou «c'est cette pomme que Paul a la tentation de manger.».
Les adjectives sont têtes de la phrase dans certaines constructions impersonnelles, avec un sujet profond phrastique inversé.
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Tête adjectivale avec sujet profond dans il est possible qu\'il vienne.
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Tête adjectivale avec sujet profond dans il est impossible de partir.
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Phrase courte à tête adjectivale dans difficile de rester.
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Phrase courte à tête adjectivale et négation dans pas facile de grandir.
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Cette partie s'intéresse aux phrases qui ne sont pas construites sur une tête verbale (ou adjectivale). Ces phrases regroupent en particulier des interjections et des réponses à des questions avec des phénomènes d'ellipses.
Du point de vue de FRMG, ces phrases non verbales sont essentiellement caractérisées par un noeud vide start.
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Phrase courte nominale dans une pomme, svp
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Phrase courte adverbiale dans jamais !
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Phrase courte prep avec négation dans pas sans lui !
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Phrase courte adverbiale
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Phrase courte introduite par une coordination
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Utilisation d\'un titre dans Messieurs les Anglais, tirez les premiers !
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Adjectif antéposé dans c\'est un fier capitaine.
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Adjectif postposé dans c\'est un capitaine courageux.
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Séquence de noms dans c\'est une machine outil.
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Prix unitaire dans les cours atteignent 400 dollars l\'once.
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Apposition postposée dans Marie, députée des Yvelines, démissionne.
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Apposition antéposée dans la députée Marie démissionne.
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Pronom ce dans il mange de ceci
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groupe nominal partitif dans ce à quoi tu penses est idiot.
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Pronoms wh dans qui apporte quoi ?
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Pronoms wh dans quoi que tu en penses, je viens.
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Nom avec argument phrastique dans le fait qu\'il parle m\'amuse.
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Nom avec argument phrastique dans le fait de parler m\'amuse.
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Nombre comme déterminant dans deux enfants jouent.
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Pré-determinant de quantité dans peu de monde en parle.
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Pré-determinant de quantité dans énormément de monde en parle.
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Groupe nominal servant de quantifieur (predet)
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Pré-determinant de quantité avec entre dans peu d\'entre nous sont venus.
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Pré-determinant wh de quantité dans combien de pommes veux-tu ?
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Adjectif modifiant un déterminant dans toutes les pommes tombent.
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adjectif quantifiant un pronom dans tout ceci m\'amuse.
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adjectif quantifiant un pronom dans nous seuls parlons.
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Le groupe prépositionnel s'appuie sur une préposition, qui introduit en général un groupe nominal, mais éventuellement également une infinitive, un adjectif ou un adverbe. Dans certains cas, on peut même avoir un groupe prépositionnel.
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groupe prépositionnel introduisant un groupe nominal
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GP argument verbal
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GP introduisant un pronom
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GP introduisant une infinitive
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Graph
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La production a commencé dès après la signature du contrat.
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Modifieur adverbial sur préposition dans peu après minuit, je suis parti.
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Préposition avec ellipse dans peu après, je suis parti.
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Modifieur de quantité sur préposition dans deux minutes après, je suis parti.
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Modifieur de quantité sur une préposition
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La construction à base prépositionnelle "de X à Y" (et variantes comme "de X en Y" ou "de X vers Y") s'utilise pour dénoter des intervals (numériques ou non) et des chemins.
En FRMG, la destination du chemin est vu comme l'élément principal, et la partie en "de X" est vu comme un modifieur venant préciser l'origine du chemin.
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Chemin sous-catégorisé
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Chemin temporel
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chemin abstrait (en \'en\')
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Il existe des liens avec les intervals sur les quantifieurs (Autour des déterminants) qui ne sont pas couvert par cette construction. D'autre part, cette construction de chemin ne devrait par être systématiquement assimilié à un groupe prépositonnel, car dans certains cas, le résultat se comporte en fait comme un groupe nominal ("il mange de 3 à 5 pommes par jour").
Nombre d'éléments sont flottants dans la phrase. Certains d'entre eux, comme les adverbes, les adverbiaux temporels, les apostrophes, ... sont réellement liés à la phrase. D'autres comme certaines participiales, adjectifs ou pronoms sont plutôt liés au sujet, mais cela ne transparaît pas dans les analyses FRMG (à cause des limites des TAGs).
Dans tous les cas, pour FRMG, on a un arc d'adjonction partant du verbe et étiqueté S, vmod, ou plus rarement S2 (dans certains cas avec extraction d'argument). On peut aussi avoir des cas d'attachement de ces éléments flottants sur d'autres catégories que le verbe, comme les prépositions, coordinations, ou adverbes de comparatives, pour ne citer que quelques cas couverts par FRMG.
Une autre caractéristique de ces éléments flottants est d'être en général encadrés par des marqueurs d'incise, normalement des virgules, mais aussi des dash (_) ou des parenthèses. Un mécanisme générique existe dans FRMG pour gérer ces marques d'incise, utilisé pour les flottants dans la phrase, mais aussi pour d'autres types d'éléments adjoints (comme les adjectifs sur le nom, ou l'apposition) [1].
Un problème pour FRMG est que certains flottants sont caractérisés par des propriétés sémantiques difficiles à capturer.
Toutes sortes d'éléments sont en fait incisables, certains étant pricipalement caractérisés par leurs propriétés syntaxiques (comme les adverbes ou les groupes prépositionnels), mais d'autres l'étant plus par des propriétés sémantiques (les adverbiaux temporels, des informations de position comme "le premier", ...). La liste des éléments incisables sembe en fait inépuisable !
Ils sont caractérisés par un arc d'adjonction étiqueté time_mod.
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Temporel dans ce soir, je sors.
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Temporel dans il part mardi.
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L'adverbe temporel peut être modifié par des noms communs désignant une référence temporelle (matin, soir, midi, jour de la semaine, ...).
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Temporel dans il vient demain matin.
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Temporel dans demain mardi, il vient.
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Un locuteur peut interpeller son audience dans le cadre d'une phrase. Cette apostrophe de l'audience est flottante dans la phrase. Elle se traduit dans FRMG par un arc audience. Par contre, faute d'une liste explicite ou d'un classe sémantique délimitant les audiences possibles, la détection d'une apostrophe est souvent hasardeuse et entre en concurrence avec la détection d'autres éléments flottant de type nominal (comme les positions).
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Apostrophe dans il a, chers amis, terminé.
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Graph
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Marqueur de rang flotant dans il a, le premier, terminé.
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Partie du corps dans Inquiet, tête courbée, il avançait.
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Un autre exemple de flottant lié à une partie du corps
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Référence dans il annonce la grève (Le Monde, 12 Janvier 2003)
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Lieu dans il a, rue des Bourdonnais, attendu en vain ses amis.
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Phrase incisée dans il a, je crois, terminé.
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Citation avec verbe incisé dans je ne veux pas, dit-il, partir.
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La plupart des éléments flottants attachables dans la phrase peuvent aussi se retrouver attachés sur d'autres catégories syntaxiques que le verbe ou la phrase.
En particulier, on trouve des cas d'accroches juste après une conjonction de coordinnation:
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flottant attaché sur une conjonction de coordination
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De même, il est possible de retrouver ces flottants dans le cas de comparatives.
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flottant attaché sur une comparative
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Ainsi qu'après certaines prépositions
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flottant attaché sur une préposition
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Nous trouvons également des flottants après des noms dénotant des évenements (noms évenementiels)
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Graph
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Néanmoins, la liste des point d'accroche reste encore à complèter et FRMG n'implémente pas toutes les possibilités d'accroche.
Pratiquement toute les catégories syntaxiques sont coordonables , éventuellement de manière non homogène. La coordination est implanté comme une adjonction sur le premier élément coordonné, et tous les autres éléments coordonnées sont capturés grâce à l'utilisation d'un opérateur de répétition (étoile de Kleene ou équivalent de "*" dans les expressions régulières). Il y nécessairement un arc de substitution ou lexical étiqueté coord3 (pour le dernier coordonnée) et des arcs coord2 pour les coordonnées intermédiaires.
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Coordination nominale dans il mange une pomme, une poire, et une orange.
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Coordination phrastique dans il mange et il boit.
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Coordination sur prep dans il regarde sur et sous la table.
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Coordination sur det dans c\'est un ou une amie ?
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Coordination sur des temporels dans il viendra demain et vendredi.
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Coordination sur xcomp dans il veut que je vienne et que je parle.
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Coordination sur xcomp dans il propose de venir et de parler.
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Coordination en ni dans il mange ni viande ni poisson.
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Coordination avec répétition dans il mange et une pomme, et une poire.
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Coordination unaire dans mais il dort !
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FRMG peut traiter quelques cas d'ellipse de sujet, d'auxiliaires ou de modaux dans le cas de coordinations entre phrases, en mettant en place des arcs vers des traces vides.
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Coordination avec ellipse sujet dans il crie et pleure.
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Coordination avec ellipse auxiliaire dans il a crié et pleuré.
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Coordination avec ellipse modal dans il veut crier et pleurer.
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Pour des raisons d'efficacité, seules les énumérations entre groupes nominaux sont implantées, toujours en s'appuyant sur l'opérateur de Kleene. La signature caractéristique est un arc étiqueté coord.
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Énumération nominale dans il mange viande, poisson, insectes.
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Énumération avec etc dans il mange viande, poisson, etc.
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Énumération entre phrases
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La version courante de FRMG permet le traitement de quelques cas d'ellipses dans les coordinations, en insérant des traces entre le coordonnant et le verbe de la coordonnée (impliquant donc l'existence d'un tel verbe). Cela autorise des ellipses sur le sujet, et dans une certaine mesure, sur les auxiliaires et modaux.
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Ellipse sujet dans il mange et boit.
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Ellipse sujet dans il a mangé et bu.
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Ellipse sujet dans il veut manger et boire.
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Le nouveau mécanisme, encore expérimental (option exotic dans l'analyseur), permet le traitement d'une plus grande gamme d'ellipses, et en particulier des ellipses sur le verbe de la coordonnée. Le principe est de s'appuyer sur des dérivations d'une phrase venant buter sur le coordonnant et de s'appuyer sur les constituants de ces dérivations pour guider (par synchronisation) la construction d'une analyse après le coordonnant.
Dans les phrases d'exemple qui suivent, certaines ellipses (de type copie), par exemple sur les verbes, se traduisent par la reprise à droite de la coordination des mots ellipsés avec des arcs pointillés vers les mots d'origine à gauche de la coordination. D'autres ellipses correspondent plutôt à du partage, par exemple sur les sujets: elles se traduisent alors par la présence de plusieurs gouverneurs pour un mot. Dans les deux cas, on passe d'un arbre de dépendances à un graphe de dépendance.
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Graph
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Graph
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Ellipse verbe dans Paul mange une pomme et son ami une poire.
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Ellipse verbe dans Paul donne une pomme à Jean et son ami une poire à François.
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Ellipse verbe dans elle a raison et lui tort.
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Ellipse verbe dans il est idiot et lui stupide.
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Ellipse verbe dans Paul mange une pomme et son ami une poire.
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Ellipses verbe+modal dans Paul veut donner une pomme à Jean et son ami une poire à François.
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Ellipse verbe+aux dans Paul a mangé une pomme et son ami une poire.
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Ellipse verbe+sujet dans il donne une pomme à Jean et une poire à François.
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Ellipse modal+sujet dans il veut manger une pomme et boire une bière.
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cas avec complétive dans il pense qu\'il viendra et elle qu\'il partira.
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cas avec infinitive dans il propose à Paul de venir et à sa soeur de l\'attendre.
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ellipse sur argument extrait dans qui as-tu trompé et volé ?
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ellipse sur argument extrait dans quel livre as-tu emprunté et lu ?
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ellipse sur argument extrait dans je veux ce livre que tu écris et édites.
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Nombreuses ! En voici quelques unes:
Tout ceci pour expliquer pourquoi ce mécanisme de traitement avancé des coordination n'est pas pour l'instant activé par défaut.
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Comparative dans il est plus gentil que toi.
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Comparative dans il est plutôt grand que fort.
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Comparative avec inversion dans il est grand plutôt que fort.
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Comparative portant sur une phrase dans il travaille autant que toi.
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Comparative portant sur une prep. dans il travaille davantage pour moi que pour toi.
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Comparative portant sur une csu. dans il vient plus parce que tu lui demandes que pour l\'argent.
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Comparative avant participe dans il a tellement travaillé qu'il dort debout.
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Superlative dans il est le plus gentil que je connaisse.
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Superlative avec possible dans il parle le plus clairement possible.
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Superlative avec possible dans il porte la cravate la plus jolie possible.
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Superlative avec subjonctif dans il mange le plus vite qu\'il puisse.
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FRMG peut aussi représenter d'autres constructions similaires à des comparatives, telles les constructions en trop/assez/suffisamment ... pour.
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Comparative en pour dans il est trop grand pour elle.
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Comparative en pour dans il travaille assez pour vivre
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Comparative en pour dans il a suffisament de temps pour s\'amuser.
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L'énumération entre phrase est plutôt vue comme la juxtaposition par chaînage de phrases (sans emploi de l'opérateur de Kleene). Différentes ponctuations peuvent servir de séparateur.
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Juxtaposition dans il mange; il boit; il dort.
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Juxtaposition dans il mange, il boit.
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Juxtaposition dans il mange. il boit.
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Elles sont utilisées pour dénoter la fin du phrase.
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Deux points dans il dit: je dort.
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Graph
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Ces marques commes les guillemets et les quotes permettent de mettre en valeur un élément ou d'isoler une expression, comme un titre de film, pour la transcatégoriser.
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Quote dans il plaint son "ami".
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Quote dans il plaint "son meilleur ami".
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Quote et changement de catégorie dans "j\'habite ici" est un bon film.
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Au contraire des quotes, les marques d'encadrements comme les parenthèses servent généralement à mettre en retrait un élément non indispensable (modifieur, complément d'information), comme des Éléments flottants au niveau de la phrase, des Relatives, ou des appositions.
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Adverbe parenthésé
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La virgule est une ponctutation servant à de très nombreux usages (et d'emploi souvent incohérent en pratique).
Comme les marques d'encadrement, la virgule peut servir à mettre en retrait des modifieurs (par exemple des Éléments flottants au niveau de la phrase) et est alors censée venir par paire, sauf si une des positions est remplie par un début de phrase (ou de clause comme une conjonction de subordination), ou une fin de phrase.
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La virgule sert également de séparateur dans les coordinations multiples et les énumérations.
Cette partie est essentiellement destinée à accueillir une liste de phénomènes syntaxiques dont la position dans la hiérarchie n'est pas encore tranchée.
Cette page recense des phénomènes non couverts par FRMG, et possiblement problématiques !
L'idée est de fournir pour chacun quelques phrases d'exemples en essayant de préciser les contraintes portant sur le phénomène en question. En question, la description du phénomène doit migrer dans les pages principales et une implémentation prendre place dans FRMG (pour les phénomènes suffisamment généraux et avec des contraintes "réalistes").
statut: ouvert (Nov. 2016)
nous témoignent année après année.
On a une construction en "X prep X" qui se comporte comme un adverbial (de manière ?). Les choix pour X semblent assez large, ceux pour prep déjà plus contraints.
vague après vague, des hordes de mutants plus répugnants déferlent
Pare-choc contre pare-choc, des milliers d'Américains ont été bloqués dans un gigantesque embouteillage
ras le bol de n'
L'exemple ci-dessus montre que l'on n'a pas toujours des adverbiaux mais que la construction semble pouvoir dénoter une expression nominale.
De même, dans la phrase suivante, l'expression semble remplir un rôle adjectival.
statut: ouvert (Nov. 2016)
D'autres choix que celui-ci sont impossibles
Cela semble être une forme de comparative "autre X que Y", qui devrait facilement trouver place dans le mécanisme en place dans FRMG
On a aussi la variante, avec autre en position adjectivale postposée (ce que pourrait faire pencher vers une sous-catégorisation attendue pour autre qui supporte le déplacement de l'adjectif en position antéposée [existe-t-il d'autres cas similaire ?]).
œuvre par des moyens autres que les appels à propositions.
Enfin, on peut aussi avoir une ellipse sur le nom ou voir autre comme un pronom (?) :
(et les centaines d'autres que l'on pourrait ajouter)
Tout autre que lui ne s’en serait pas si bien tiré.
statut: ouvert (Oct. 2017)
Le phénomène est assez rare mais on rencontre des cas de nominalisation de phrases avec un article (généralement défini) précédant une phrase (souvent infinitive mais pas toujours )
Évidemment, le comment on y parvient intéresse au plus haut point les professeurs